Agnès Pannier-Runacher au carrefour des gestions locales de l’eau

23 janvier 2025 - Table ronde « 60 ans de la Loi sur l’Eau : un héritage, des défis, un avenir. Regards croisés des acteurs de l’eau »

Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche était présente pour évoquer les succès et les enjeux de la politique de l’eau et de son modèle de gouvernance porté par les comités de bassin et les agences de l’eau. A ses côtés, Thierry Burlot, Président du comité de bassin, Loïc Obled, Directeur général de l’agence et Michel Demolder, Président de Eau du Bassin Rennais.

L’ambition de la loi de 1964 reste d’actualité : inscrire l’action publique dans une co-construction au plus près des territoires réunir les acteurs pour orienter les priorités d’actions et déterminer les moyens financiers à mobiliser. Les intervenants ont rappelé les succès remportés, notamment en matière d’épuration et les enjeux nombreux liés au dérèglement climatique.

Visuel d'illustration
Agrandir l'image dans une nouvelle fenêtre

Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche ; A ses côtés, Thierry Burlot, Président du comité de bassin, Loïc Obled Directeur général de l’agence et Michel Demolder, Président de Eau du Bassin Rennais.

© E. Bouju

Loïc Obled a pu souligner le rôle des agences, comme levier d’incitation et d’accompagnement.

Thierry Burlot a partagé l’enjeu d’une évolution fiscale pour être à la hauteur des défis collectifs.

Agnès Pannier-Runacher a rappelé les priorités nationales :

  • accélérer le travail sur l’amélioration de la qualité de notre ressource en eau par la protection des captages et la gestion quantitative de la ressource en eau et de stockage hydraulique,
  • renforcer le plan Eau avec un volet adaptation au changement climatique pour préserver la ressource, malgré l’évolution du cycle de l’eau, face au dérèglement climatique.

Pour la Ministre « Ces ambitions passent nécessairement par la concertation, la co-construction avec les territoires et les acteurs de l’eau, en toute transparence et en mobilisant l’opinion publique massivement afin que chacun s’empare du sujet. »

 

Partager cette page sur :